L'oiseau vole entier,
Dans sa maitrise du ciel,
Magnifique en liberté.
Son aile coupée,
Destination casserole,
Ou bien la cage dorée.
L'oiseau vole entier,
Dans sa maitrise du ciel,
Magnifique en liberté.
Son aile coupée,
Destination casserole,
Ou bien la cage dorée.
Un broc d'eau fêlé,
Charrié le long du chemin,
Arrose efficacement.
Le porteur idiot,
Préfère assécher ses fleurs,
Et amasser le liquide.
L'amour est un cri,
Qui vieillit plaintivement,
Dans l'attente de sa mort.
Puis qui ressuscite,
Dans la croyance incertaine,
En l'absolue surdité.
Le navire au port,
N'est pas à destination,
Il espère l'océan.
Mais ne bouge plus ;
Tous ses désirs assouvis,
En calle sèche de sens.
Une belle fleur,
Avec couleurs attirantes,
Qui captent notre attention.
S’envole en silence,
Lorsque nous nous rapprochons,
En devenant papillon.
Dans jardin secret,
Eclatante de silence,
Une fleur si bien aimée.
Puis ce puceron,
Nourrit par le temps qui passe,
Qui la transforme en fumier !
Quand un hémisphère,
Le jour de l'obscurité,
Revêt son manteau d'hiver,
Il éclaire en l'autre,
L'impérieuse raison,
A rechercher la clarté.
Autour de la taille,
Il protège nos habits,
Mais aussi notre baignoire.
Trou dans le soleil,
S'ouvre l'hiver pour le feu,
Supporte circulation.
Petite cuillère,
Allait de son bol de soupe,
Vers sa bouche dédaigneuse.
Maintenant figée,
Entrouverte et sans futur,
Qui repose en un sourire.
Robes présentées,
Par affamées surpayées,
Si pleines de vacuité.
Ces robes brillantes,
Créées par des prétentieux,
Puis cousues par des esclaves !